Nous vivons aujourd’hui dans un monde émotionnel où tout est dans le ressenti, dans la quête perpétuelle de sensations. Même devant le saint sacrement, on est dans cette même quête. Ce n’est pas ma subjectivité qui détermine la présence du Christ, mais c’est sa Parole : Je suis là, même si tu n’es pas là.
L’expérience de Dieu ne se fait pas dans la sensation, mais dans le spirituel, dans les vertus théologales que sont la foi, l’espérance et la charité. Sous un aspect politique, économique et cosmique, le prédicateur a affirmé que la perte de la foi dans la société vient de la perte de l’adoration eucharistique.
Pour l’orateur, l’adoration est alors une réponse à cet appel du Christ. C’est l’»arme» du désarmement du monde. «Lors de l’adoration, Dieu nous refait. Il refait le cœur de l’homme. L’adoration apportera alors la paix dans les cœurs, les familles, et dans le monde»